ApPrendreEtaLaisser

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Mercredi 18 novembre 2009 à 1:48

Je me fou de tout je me fou en l’air, mais pas assez haut pour que la terre s’arrête de valser et c’est un peu dommage que l’hôtesse se soit barré/ peur de la route pas envie d’y gouter/mes déblatérations de cafard boiteux stagnant sans fards/un bol de canard WC à avaler au diner/l’inanité sous les phares/plénitude doré sur des rails de citations trop sniffé/de quoi manquer la locomotive et tu restera dans le wagon/celui qui me démembrera/maigre lot de consolation/le roi et le fou se sont barrés/ la reine m’a étouffé/les pions m’ont piétinés/la tour me guette, elle peut passer des années à me narguer/ses appels qui résonnent/et leurs échos qui heurte les creux et les bosses de ma vallée/le cavalier sur son âne battée descend en enfer/il se l’était crée pour passer le temps et puis le temps l’y à poussé/des nuées d’idées/habitué à la facilitée/égaré, hagard au point mort de l’existence, de la non existence/absurdité de nos images/nos miroir dégueulasses, qui pourrait bien s’y transformer en fleurs ?/pouvoir tout écrire et ne savoir rien dire, pouvoir tout faire et ne savoir rien entreprendre/absolument rien, le parallélisme m’est frappant/se cerner les paupières d’eau salé, l’arme à l’œil et thé à l’amante/puis à l’amiante/quand mon corps sera sous terre la vie grouillera en lui, bien plus que maintenant/cette idée me fait sourire, c’est l’ironie de mon sort/c’est peut être juste ma vocation, qui sait ?/mon instinct de conservation est encore assez vivace/je ne sais si c’est un bien ou un mal/tout va mal, tout va bien, ça m’est égal à zéro/mes pieds sont froids mais la sudation scelle l’édredon à mon épiderme et deviens ma seconde peau/mon corps s’amenuise mais ne disparaît pas/mon esprit fait de même, accablé par la répétition, il fixe sa pensée sur des choses vaines/ je tourne en rond même si ce manège ne m’enchante pas/si j’ai du mal à tenir sur mes deux pieds c’est qu’il y en à un dans la tombe/le droit je crois/voila pourquoi je suis gauche/les souvenirs et les connards traumatisants restent ancré dans ma mémoire, les moments agréables s’évapore ou se ternissent…pourquoi ?/les porcs de peu ne sauront jamais/peau mate et yeux noisettes, proportion parfaite gâchis sidéral sidérant/souvenirs qui me manquent/lié à une drogue sans nom ou si mauvais/pas de travail dans un domaine=pas de satisfaction=pas de motivation=pas de travail et les cercles sont dur à briser, ça tient à leur nature même et à l’adjectif qu’ils trimballent : vicieux/c’est un tesson aux vers fumés à la mer qui va bientôt couler/je ne mérite pas de pitié même si j’aime bien lorsque vous m’en donner/ comme tous le monde/étouffé de crachats et de rire je n’ai réussi à accomplir aucun acte qui puissent me permettre de m’estimer, je n’ai pas de recoins heureux ou me cacher sous ce crane échevelé/reste justement l’acte de celui qui n’a réussi à en n’accomplir aucun, mais ce serait donné raison aux pipeurs de dés//en attendant je ne sais toujours que faire/en attendant je taille des parts de pathos et t'en sers une/

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